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Comme un Béréen

Gestion de la crise du COVID : Pourtant l'histoire du TITANIC est réelle !

17 Mai 2021 , Rédigé par Comme un Béréen Publié dans #COVID

Le désastre du Titanic fut un choc pour l'opinion publique internationale car il prouve à tous que l'homme et ses réussites technologiques peuvent être dépassés par les puissances de la nature à une époque où le progrès scientifique semblait impossible à arrêter.

Le désastre du Titanic fut un choc pour l'opinion publique internationale car il prouve à tous que l'homme et ses réussites technologiques peuvent être dépassés par les puissances de la nature à une époque où le progrès scientifique semblait impossible à arrêter.

Image Sea Trials of RMS Titanic, 2nd of April 1912  -  Teufelbeutel, CC BY-SA 3.0 <https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0>, via Wikimedia Commons

 

Pourtant l'histoire du TITANIC est réelle !

 

Juste un petit article informel qui n'est pas un enseignement mais plutôt une réaction à chaud de ma part, pour voir autrement, si on veut essayer de faire preuve d'humilité en se souvenant que même les faits historiques devraient nous emmener à réfléchir davantage, à prendre du recule, à ne pas faire comme certains qui ont cru en la puissance de l'Homme et pour ne pas répéter les mêmes erreurs.

Pour ma part, ma Bible me parle d'un verset, alors de là à faire un rapprochement avec l'histoire ou l'actualité : A toi de savoir ...

Es. 13:11-12 
Je punirai le monde pour sa malice, Et les méchants pour leurs iniquités; Je ferai cesser l'orgueil des hautains, Et j'abattrai l'arrogance des tyrans. Je rendrai les hommes plus rares que l'or fin, Je les rendrai plus rares que l'or d'Ophir.

 

Pourtant le TITANIC a existé !


(Extraits tirés du site Wikipédia, à propos du  Titanic : https://fr.wikipedia.org/wiki/Titanic )

Le RMS Titanic est un paquebot transatlantique britannique qui fait naufrage dans l'océan Atlantique Nord en 1912 à la suite d'une collision avec un iceberg, lors de son voyage inaugural de Southampton à New York. Entre 1 490 et 1 520 personnes trouvent la mort, ce qui fait de cet événement l'une des plus grandes catastrophes maritimes survenues en temps de paix et la plus grande pour l'époque.

White Star Line, prennent la décision de construire une série de trois paquebots capables de surpasser en confort, sécurité et élégance ceux des autres compagnies maritimes concurrentes, qu'elles soient britanniques ou allemandes.

Le départ en retraite de l'architecte est provoqué par une réunion entre Lord Pirrie, Ismay et Carlisle sur le nombre de canots de sauvetage : Carlisle voulait 66 canots de sauvetage ; nonobstant les qualités et défauts de la conception du système des cloisons étanches, l'architecte était au courant qu'une fabrication humaine ne saurait être insubmersible. Un refus lui étant signifié, il claque la porte des chantiers
(@commeunbéréén :  L'architecte initial de la conception des 3 grands paquebots, voulait 66 canots de sauvetage, car malgré toutes les avancées en matière de sécurité, il était encore humble à reconnaître qu'un accident pouvant tout de même mettre en échec les avancées technologiques en matière de sécurité, pouvait quand-même se produire. Mais cela lui a été refusé. Donc cet architecte qui s'y connaissait en matière de construction navale, n'aurait pas accepté cette décision qu'il devait juger comme manquant de sagesse. Au final seulement 20 canots et radeaux de sauvetage furent installés, pour une capacité de 1178 personnes, alors que le voyage de croisière inaugurale du Titanic comportait environ 2200 passagers.)

La coque du Titanic était pourvue de seize compartiments étanches servant à protéger le navire en cas de voies d'eau ou d'avaries importantes, ce qui lui donna la réputation de paquebot « insubmersible » et conduit les médias contemporains à le présenter comme l'un des navires les plus sûrs.

Le 14 avril 1912, quatre jours après le commencement de son voyage inaugural, il heurte un iceberg à 23 h 40 (heure locale) et coule le 15 avril 1912 à 2 h 20 au large de Terre-Neuve. Le drame met en évidence l'insuffisance des règles de sécurité de l'époque, notamment le nombre insuffisant de canots de sauvetage et les carences dans les procédures d'évacuation d'urgence. 
(@commeunbéréén :  Pourquoi n'-a-t-on pas écouté la voix d'un spécialiste de la construction navale, un architecte confirmé dans son domaine mais s'est-on allié à l'avis de ceux qui, dirigeant la société qui exploitait le TITANIC, ont alors tout miser sur la fiabilité de l'avancée technologique de l'époque ? Et pourquoi les médias de l'époque ont, eux aussi, relayé cette information qu'on leur avait tout bonnement vendue ou plutôt offerte sur un plateau en or, car ils n'étaient pas eux-mêmes des experts en construction navale ?)

Le 14 avril 1912 vers 21 h, le Titanic a déjà parcouru 1 451 milles (2 687 kilomètres). Durant cette journée, le Titanic reçoit une dizaine de messages venant de plusieurs navires, parmi lesquels le Baltic et le Californian, lui signalant des avis de glace. À 22 h 55, Cyril Evans, l'opérateur radio du Californian, alors pris dans la glace à 20 milles (environ 36 km) au nord du Titanic, envoie un message à tous les navires alentour, parmi lesquels le Titanic : à bord de ce dernier, Jack Phillips, le radio-télégraphiste, reçoit le message. Il l'interrompt en lui demandant de se taire « Shut up, shut up, I am busy. I am working Cape Race ». L'utilisation des mots « Shut up » était une formule courante parmi les opérateurs radio pour demander poliment aux autres de « garder la ligne libre ».
(@commeunbéréén :  Malgré tous les avertissements, le commandant va décider de ne pas ralentir la vitesse du TITANIC. Sur le site web https://titanic.pagesperso-orange.fr/, il est donné la conclusion du rapport d'enquête du 02/05/1912 au 03/07/1912 = La Commission d'enquête conclut : " Que la collision du Titanic avec l'iceberg était due à la vitesse excessive à laquelle le navire naviguait; ....".  La commission retiendra aussi contre le commandant Smith la faute de n'avoir pas modifié sa route ou ralenti sa vitesse, mais se refusera à prononcer un blâme. )

A 23:40, le TITANIC va heurter l'iceberg.

la capacité des canots n'est que de 1 178 personnes au total, et il y a environ 2 200 personnes à secourir.
La vitesse du navire au moment du choc était également trop élevée pour les circonstances (bien qu'en accord avec les règles de navigation de l'époque).
Enfin, le nombre élevé de morts s'explique par le faible nombre de canots de sauvetage du navire, qui ne pouvaient contenir que 1 178 personnes, mais aussi par le manque d'organisation dans leur chargement et d'information des passagers. Cette mauvaise organisation aurait rendu des canots supplémentaires peut-être inutiles, puisque les officiers n'ont pas eu le temps de s'occuper des deux derniers canots. Certains canots, comme le no 10, partent presque vides et refusent de revenir sur les lieux du naufrage. Ceci explique que les canots sont, à la fin, remplis à moins des deux tiers.

Le désastre est un choc pour l'opinion publique internationale car il prouve à tous que l'homme et ses réussites technologiques peuvent être dépassés par les puissances de la nature à une époque où le progrès scientifique semblait impossible à arrêter.

La commission britannique de Lord Mersey a fait de nombreuses propositions sur la sécurité en mer, de même que la commission américaine du sénateur Smith. L'attitude jugée désinvolte et insouciante de ceux qui décident de la route et de la vitesse des paquebots a fortement contribué à la perte du navire, selon les deux commissions sur le naufrage.


+ Rajouts depuis le site web https://titanic.pagesperso-orange.fr/

Lors de l'évacuation, après la collision avec l'iceberg, afin de rassurer les passagers, l'équipage leur dit d'abord qu'il s'agit d'un exercice. Conséquence = Seuls quelques passagers se dirigent vers le pont des canots de sauvetage, la majorité ne s'inquiète pas et reste un long moment dans le navire.

On fait jouer l'orchestre pour ne pas faire paniquer les passagers. Conséquence = L'évacuation est très lente, la majorité des passagers ne croyant pas, au début, à l'imminence d'un naufrage.

Env. 1h30 après le choc, quand l'eau commence à envahir la proue du navire, les passagers qui étaient incrédules, commencent à réaliser et à accepter la réalité du naufrage.

Le lendemain de la catastrophe qui a fait env. 1500 morts, les journaux mainstream de l'époque vont titrer, eux qui sont toujours les soi-disant "garants" de la vérité, (on dirait .. !!!)  :
New York Evening : "Tous les passagers du Titanic sauvés après collision "
The World : " Naufrage du Titanic, aucune perte humaine", "Passagers transférés sur le Carpathia , tous désormais en sécurité"
Le Daily Mail :"Titanic coulé, pas de pertes de vie humaine"

Et les bureaux de la White Star Line, la société qui exploite le Titanic, rassurent les proches des passagers en réaffirmant que l'accident est sans gravité.

( @commeunbéréén : C'est étonnant cet élan de toujours vouloir que les moutons dorment bien tranquillement pour que le lait ne tourne pas... Et de ne pas vouloir parler de la vérité, quand elle avertit pourtant d'un réel danger, un peu comme ce que la Bible dit quant à ce qui se passe après la mort....
Ainsi parlent les mauvais gardiens du troupeau : "Non, Non, DORMEZ PETITS MOUTONS, nous on sait mieux que vous, alors écoutez notre voie rassurante, c'est bien mieux que d'entendre la vérité qui avertit de choses trop dures à supporter pour vous, bien que vous y ferez face quand-même, au final "....

Jér 6:13-19
Car depuis le plus petit jusqu'au plus grand, Tous sont avides de gain; Depuis le prophète jusqu'au sacrificateur, Tous usent de tromperie. Ils pansent à la légère la plaie de la fille de mon peuple: Paix! paix! disent-ils; Et il n'y a point de paix; Ils seront confus, car ils commettent des abominations; Ils ne rougissent pas, ils ne connaissent pas la honte; C'est pourquoi ils tomberont avec ceux qui tombent, Ils seront renversés quand je les châtierai, Dit l'Eternel.
Ainsi parle l'Eternel: Placez-vous sur les chemins, regardez, Et demandez quels sont les anciens sentiers, Quelle est la bonne voie; marchez-y, Et vous trouverez le repos de vos âmes! Mais ils répondent: Nous n'y marcherons pas.
J'ai mis près de vous des sentinelles: Soyez attentifs au son de la trompette! Mais ils répondent: Nous n'y serons pas attentifs. C'est pourquoi écoutez, nations! Sachez ce qui leur arrivera, assemblée des peuples!
Ecoute, terre! Voici, je fais venir sur ce peuple le malheur, Fruit de ses pensées; Car ils n'ont point été attentifs à mes paroles, Ils ont méprisé ma loi.   
)

Dans l'opinion de l'époque, c'est l'addition des circonstances "malchanceuses" qui frappe :
- Si le Titanic avait tenu compte d'un seul des messages reçus concernant la présence d'icebergs, et si le commandant avait décidé de ralentir la vitesse à la suite de ces messages d'avertissement ...
- Si la vigie dans le nid-de-pie avait aperçu l'iceberg 15 secondes plus tôt, notamment en ayant eu des jumelles. Mais les veilleurs du Titanic n'avaient pas de jumelles  à leur disposition dans le nid-de-pie, car la clé du coffre des jumelles avait été oubliée et les officiers qui, eux, avaient des jumelles n'en ont pas prêtées aux veilleurs....
- Si les premiers canots mis à la mer avaient été plus remplis... mais les passagers ne croyaient pas au naufrage, bercés par la musique de l'orchestre et la voix rassurante de l'équipage qui prétendait, au départ, qu'il ne s'agissait que d'un exercice pour ne pas affoler les passagers ( : le bateau ne semblait pas couler, alors il n'y avait pas d'urgence ...)
- La loi de l'époque qui règlementait le nombre de canots de sauvetage se basait sur le tonnage du navire et non pas sur le nombre de passagers, donc même selon les lois de l'époque, le Titanic était conforme à la réglementation mais celle-ci n'était plus adaptée aux énormes paquebots qui se construisaient, tels que le TITANIC
- Et si seulement la voix d'un sage expert de la construction navale, qui n'était pas un novice et qui ne faisiat que suivre la voie de la sagesse avait été écouté dès le départ : Carlisle voulait 66 canots de sauvetage ; nonobstant les qualités et défauts de la conception du système des cloisons étanches, l'architecte était au courant qu'une fabrication humaine ne saurait être insubmersible.


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Et comme le dit la Bible, par l'intermédiaire de l'Ecclésiaste qui s'est penché sur le chemin de la sagesse :
Eccl 1:9-11 Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.

Et malgré ce qui a été, si on commettait les mêmes erreurs, celles de croire qu'on sait tout et qu'on a rien à apprendre et qu'on peut donc se passer du b.a.-ba de la sagesse ?


Ci-dessous un lien vers la vidéo d'une généticienne dont le domaine d'étude a justement été l'ARN messager ...
A écouter, un peu comme si on écoutait, avant de prendre une décision concernant une éventuelle construction d'un TITANIC de plusieurs millions de personnes dans le monde, un architecte confirmé de la construction navale qui nous parlerait des moyens de sécurité à mettre en place sur un paquebot...

PS :
Lorsque j'étais en 3e année de médecine, j'ai assisté pour la 1ere fois à une opération de chirurgie orthopédique, dans le bloc opératoire. Etant juste externe de 3eme année, on ne fait que regarder et c'est sûr que la chirurgie orthopédique (pose de prothèse de genou), ça ressemble plus à de la menuiserie qu'à une partie de docteur maboule où on fait des tous petits gestes, j'étais donc plutôt mal-à-l'aise dans le bloc, avec le masque, la charlotte, la surblouse... A un moment donné, je me suis approché, pour mieux voir mais ma blouse a frôlé un paquet de compresses qui était dans la zone stérile. J'avais juste frôlé ces compresses mais le chirurgien a vu le risque que cela pouvait représenter et il a fait signe à une infirmière qui a jeté tout le paquet de compresses stériles.
Tout était une question de bénéfice / risque et là, le chirurgien a pris une décision en fonction de ça, malgré le fait que peut-être que je n'avais pas réellement contaminé tout le paquet de compresses.
Alors, prenons bien garde à ce que cette vidéo, à ce que ces experts dans leur domaine, mettent en avant comme évaluation du bénéfice / risque ....

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