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Comme un Béréen

Raisonnements et Approche de Dieu

10 Novembre 2018 , Rédigé par Comme un Béréen Publié dans #religion-religiosité ?, #Venir à Dieu

I Co 3:19 (b) .... Il (Dieu) prend les sages dans leur ruse.

I Co 3:19 (b) .... Il (Dieu) prend les sages dans leur ruse.

Les raisonnements de l'intelligence humaine face à la connaissance de Dieu
( Sommes-nous réellement sincères lorsque nous réfléchissons avec notre intelligence en ce qui concerne Dieu ? )

 

I /   La théorie mathématique des ensembles de nombres

Mt 22:15-45
Alors les pharisiens allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles. Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent: Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t'inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes. Dis-nous donc ce qu'il t'en semble: est-il permis, ou non, de payer le tribut à César? Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit: Pourquoi me tentez-vous, hypocrites? Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut. Et ils lui présentèrent un denier. Il leur demanda: De qui sont cette effigie et cette inscription? De César, lui répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Etonnés de ce qu'ils entendaient, ils le quittèrent, et s'en allèrent.


Le même jour, les sadducéens, qui disent qu'il n'y a point de résurrection, vinrent auprès de Jésus, et lui firent cette question: Maître, Moïse a dit: Si quelqu'un meurt sans enfants, son frère épousera sa veuve, et suscitera une postérité à son frère. Or, il y avait parmi nous sept frères. Le premier se maria, et mourut; et, comme il n'avait pas d'enfants, il laissa sa femme à son frère. Il en fut de même du second, puis du troisième, jusqu'au septième. Après eux tous, la femme mourut aussi. A la résurrection, duquel des sept sera-t-elle donc la femme? Car tous l'ont eue.
Jésus leur répondit: Vous êtes dans l'erreur, parce que vous ne comprenez ni les Ecritures, ni la puissance de Dieu. Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. Pour ce qui est de la résurrection des morts, n'avez-vous pas lu ce que Dieu vous a dit: Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob? Dieu n'est pas Dieu des morts, mais des vivants. La foule, qui écoutait, fut frappée de l'enseignement de Jésus.

Les pharisiens, ayant appris qu'il avait réduit au silence les sadducéens, se rassemblèrent, et l'un d'eux, docteur de la loi, lui fit cette question, pour l'éprouver: Maître, quel est le plus grand commandement de la loi? Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes.

Comme les pharisiens étaient assemblés, Jésus les interrogea, en disant: Que pensez-vous du Christ? De qui est-il fils? Ils lui répondirent: De David. Et Jésus leur dit: Comment donc David, animé par l'Esprit, l'appelle-t-il Seigneur, lorsqu'il dit:
Le Seigneur a dit à mon Seigneur: Assieds-toi à ma droite, Jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied?
Si donc David l'appelle Seigneur, comment est-il son fils? Nul ne put lui répondre un mot. Et, depuis ce jour, personne n'osa plus lui proposer des questions.


 

On constatera dans ce passage que ces personnes n'allaient pas réellement vers Jésus pour apprendre de lui et être éclairées mais elles allaient juste vers lui pour essayer de piéger Jésus afin de prouver que leurs raisonnements étaient le bon par rapport à tout ce que Jésus enseignait.
Ces personnes ne venaient même pas pour discuter et essayer de comprendre Jésus et ce qu'il enseignait mais elles venaient juste pour "écraser" l'enseignement de Jésus. Il n'y avait pas de réel échange avec Jésus puisque lorsque Jésus parvenait à leur montrer où était l'erreur dans leur façon de penser, ces personnes partaient au lieu de reconnaitre qu'effectivement leur système de pensées était erroné et qu'il était alors peut-être judicieux de changer de façon de penser puisque leur système de pensées ne tenait plus debout.

 

Et voyez-vous, c'est souvent de cette façon qu'on aborde Dieu ou le "système de pensées" qui est enseigné dans la Bible : on ne vient pas pour essayer de le comprendre mais on vient avec toute notre intelligence, tout notre propre système de raisonnement, pour essayer d'écraser l’Évangile et ce qu'il veut nous enseigner.
On vient notamment avec notre raisonnement préféré : "Je ne crois que ce que je vois !", "Montrez-moi Dieu et je croirai, car je ne peux pas croire en ce que je ne vois pas...", "les hommes intelligents ne peuvent pas croire en ces balivernes, car l'intelligence de l'homme dépasse ces viles croyances" etc, etc ...

 

Pourtant, je voulais, depuis un certain temps, rédiger un article concernant la théorie mathématique sur les ensembles de nombres, théorie qui colle si bien et explique pratiquement cette façon que l'on a d'aborder même la simple idée que Dieu puisse exister, avec une suffisance digne des plus grands imbéciles.

Alors certes, ça va faire un peu mal à ceux qui rêvaient en classe pendant les cours de mathématiques mais on abordera juste cette théorie des ensembles des nombres de façon générale.
Et pour ça, je vais déjà lancer un schéma qui pique les yeux mais que je vais tenter d'expliquer brièvement ensuite ...

 

Raisonnements et Approche de Dieu

On regardera ce schéma qui explique la théorie des ensembles de nombres du centre vers l'extérieur.

Chaque cercle représente un ensemble de nombres qui ont des caractéristiques spéciales. Et d'après cette théorie, tous les nombres que nous connaissons peuvent être classés dans un de ces ensembles.

 

Alors au centre, on a l'ensemble N qui est appelé l'ensemble des Entiers Naturels.
Il regroupe les nombres qu'on découvre lorsqu'on est en maternel et au CP. Il s'agit des nombres qui permettent de compter les vaches, de compter les voitures, les maisons = 0, 1, 2, 3, 4 ..... 10, 20, 42, 100, 131, 1000, 2564, 10050013,  etc ...

Dans cet ensemble N des nombres Entiers Naturels, on peut faire des opérations comme l'addition, la soustraction, la multiplication, la division. Mais ces nombres sont seulement positifs et il n'y a pas de virgule dans ces nombres donc, dans cet ensemble, il y a des opérations qu'on ne peut pas faire comme 3 moins 4 ou 1 divisé par 2, car le résultat n'existe pas dans cet ensemble de nombres.
Cet ensemble des Entiers Naturels est donc un peu limité. Il convient largement quand on est en maternel ou au CP, car on apprend alors juste à compter des choses entières comme des voitures, des maisons, des pommes mais quand on grandit et que notre intelligence nous permet de raisonner de façon un peu plus abstraite, on en arrive alors à avoir besoin d'autres nombres pour illustrer des problèmes moins basiques, comme par exemple, les nombres négatifs qui deviennent vite nécessaires pour la météo, par exemple, pour dire qu'on est passé sous le zéro et que les températures sont inférieures à 0.

 

Alors les élèves des classes de CM2 ou 6e, apprennent qu'il y a un ensemble, l'ensemble Z des entiers relatifs, où l'opération 3 moins 4 est possible puisque les nombres négatifs existent dans cet ensemble. Et l'opération 3 moins 4 est alors solutionnable = -1.
Cet ensemble Z des entiers relatifs comprend donc déjà l'ensemble N des entiers naturels mais il comprend, en plus, tous les entiers négatifs (-1, -2, -3, -1315, -5851223 ...) qui n'existaient pas dans l'ensemble N.

Et des opérations impossibles dans l'ensemble N sont donc maintenant possibles dans l'ensemble Z (comme 3 - 4 = -1).

 

Mais cet ensemble Z a aussi ses limites !
Dans cet ensemble, alors qu'on peut faire 4 divisé par 2 égal 2 (4 / 2 =2 ), on ne peut toujours pas faire entièrement la division :  7 divisé par 2 .
Car dans cet ensemble Z, bien qu'on dispose de plus de nombres que dans l'ensemble N puisqu'on a les nombres entiers négatifs, on n'a pas de nombres avec virgules tels que 0,5 ou 3,5 ou - 0,235 .
Donc dans cet ensemble Z, on ne peut faire les divisions que de la façon dont on les faisait en classe de CM2, c'est-à-dire en disant que 7 divisé par 2 est égal à 3 mais qu'il reste 1.
C'est la façon de penser des élèves de classes de cours moyen qui permet de concevoir que si on coupe un gâteau en 7 parts et qu'on doive diviser de façon équitable ces parts entre 2 personnes, alors chaque personne aura 3 parts mais il restera 1 part en plus.

Alors, quand les élèves ont une intelligence qui leur permet de concevoir des choses encore un peu plus abstraites et élaborées, les enseignants abordent avec eux l'ensemble D des nombres décimaux.
Cet ensemble comprend déjà tous les nombres de l'ensemble Z (qui comprenait lui-même déjà tous les nombres de l'ensemble N) mais l'ensemble D comprend aussi les nombres décimaux, c'est-à-dire, en expliquant de façon compréhensible : les nombres qui ont une virgule.
Donc dans cet ensemble D, les nombres tels que 0,5 ou 3,5 ou -1,5 ou -25,368 ou 25,368 existent aussi. Et de ce fait, les opérations telles que 1 divisé par 2 sont réalisables :
1 / 2 = 0,5
7/ 2 = 3,5
-7/ 2 = -3,5

etc, etc ...

 

Ainsi chaque ensemble de nombres est plus grand que le précédent car il inclut déjà les nombres de l'ensemble précédent mais contient des nouveaux nombres qui n'existaient pas dans l'ensemble précédent et ces nouveaux nombres permettent alors de pouvoir réaliser des opérations qu'on ne pouvait pas réaliser dans l'ensemble précédent.
Et chaque nouvel ensemble est abordé, à l'école , quand le développement de l'intelligence des élèves, quand la façon de raisonner des élèves est capable de comprendre ces nouveaux concepts, ces nouveaux nombres, ces nouvelles opérations.

En effet, quel enseignant irait enseigner à des élèves de CP que 7 divisé par 2 est égal à 3,5 et que si on soustrait 8 à ce résultat on obtient  -4,5  ???? 
( 7/2 ) - 8 = -4,5
L'intelligence des élèves de CP ne permet pas d'appréhender ce genre d'opération, car ce serait trop abstrait et trop compliqué à comprendre pour leur façon de raisonner.

Compter des objets entiers et qui existent réellement, c'est ce qui est possible pour des élèves de CP. Les opérations plus compliquées et abstraites ne pourront être abordées que par des élèves des classes de CM2 ou 6e, au minimum, élèves qui auront déjà assimilé les opérations et les nombres qu'on apprend au CP.

 

Et que dire alors des ensembles qui sont encore plus grands tels que les ensembles Q, R et C ?
En effet, ces ensembles comprennent des nombres et des opérations que les élèves ne pourront aborder et comprendre que dans les classes de 4e, 3e voire même dans les classes de Terminal.
En effet, pour compléter rapidement ce que j'ai commencé de tenter d'expliquer, j'aborderai rapidement une explication succinte de ce que sont ces 3 ensembles, juste pour la culture générale et pour comprendre que chaque ensemble plus grand contient des nombres de plus en plus complexes à appréhender pour les élèves mais permet alors de résoudre des opérations qui ne pouvaient pas être résolues dans l'ensemble précédent.

 

L'ensemble Q des nombres rationnels comprend déjà l'ensemble des nombres décimaux de D mais avec, en plus, les nombres qu'on n'arrive pas à écrire de façon précise avec une virgule. En effet, si vous faite l'opération 1 divisé par 3, vous avez déjà constaté que le résultat ne peut pas s'écrire très précisément avec une virgule car il faudrait écrire une infinité de 3 car 1 / 3 = 0,3333333333333....... et la quantité de chiffres 3 qu'il faudrait mettre à la fin pour écrire précisément ce résultat ne s'arrêteraient jamais. Donc on dit que le résultat de 1 divisé par 3 est un nombre qui s'écrira juste 1/3, car on ne pourra jamais l'écrire exactement en utilisant un nombre avec une virgule, car il faudrait une infinité de 3.
Ainsi, dans cet ensemble Q, l'opération 1 divisé par 3 est un nombre précis qui est juste écrit : 1/3, on dit que c'est un nombre qui s'écrit sous la forme d'une fraction. 1/6 est un autre exemple, car le résultat de 1 divisé par 6 ne peut pas être écrit avec un nombre à virgule, car il faudrait une infinité de 6, comme 1 divisé par 6 est égal à 0,16666666666666.......

 

L' ensemble qui est supérieur à Q (qui contient donc déjà tous les nombres vus précédemment mais avec des nouveaux nombres supplémentaires)  est l'ensemble R des nombres appelés nombres réels.
Dans cet ensemble, il existe des nouveaux nombres qu'on ne peut même pas écrire avec des fractions du type 1/6 ou 1/3 mais des nombres dont vous avez déjà certainement entendu parler : le nombre Pi  ( π ) ou la racine carré de 2    (√ 2)

En effet, ces nombres ne sont pas des nombres qui s'écrivent très précisément avec un nombre à virgule mais, en plus, contrairement aussi aux fractions du type 1/3 ou 1/6 , ces nombres ne sont pas non plus une succession de chiffres qui se répètent indéfiniment après la virgule comme le 3 qui se répètent de façon infinie pour écrire le résultat de 1/3. Non, ces 2 nombres de π et √ 2 s'écriraient avec des chiffres certes à l'infini après la virgule, mais de façon non répétitive.

π = 3,141 592 653 ...... et les chiffres après la virgule continuent toujours à l’infini mais de façon non répétitive, ce n'est jamais une suite de 3333333333 ou 66666666
et de même √ 2 = 1,414 213 562 ....... sans que les chiffres après la virgule ne s'arrêtent ou ne deviennent une répétition infinie du même chiffre.

Mais pourquoi s'embêter et se triturer la tête avec de tels nombres alors ?
Parce qu'on en a besoin pour résoudre mathématiquement certains problèmes concrets comme pour estimer la circonférence d'un cercle (donc la distance parcourue par une roue qui fait un tour entier sur elle-même) et cette distance est égale à 2 fois le rayon de la roue multiplié par le nombre π, ou pour calculer l'aire d'un disque ou le volume d'une boule, quand on connait le rayon (je vous passerai les formules barbares de ces calculs). Et pour le nombre √ 2, on en a besoin, notamment, pour estimer la longueur de la diagonale d'un carré de 1m de côté, car la longueur de la diagonale est alors égale à √ 2, donc, mathématiquement on ne peut qu'estimer cette longueur à 1,414 213 562 m.

 

Puis pour finir dans l'apothéose des chiffres abstraits, on arrive à l'ensemble C des nombres complexes qui contient donc tous les nombres précédents, plus un nombre encore plus abstrait que π ou √ 2, et qui est le nombre i.
Ce nombre s'écrit ainsi : i

Car dans l'ensemble précédent, il y avait une opération qui était encore impossible (je vous passe les explications mathématiques de pourquoi c'était impossible dans l'ensemble R des nombres réels). Et cette opération impossible était de résoudre l'opération suivante : que le carré d'un nombre soit égal à -1 (c'est-à-dire qu'un nombre multiplié par lui-même soit égale à -1, car même quand on fait le carré d'un nombre négatif de l'ensemble précédent R , ça donne encore un nombre positif, pas un nombre négatif car "un moins multiplié par un moins donne un plus".)
Or dans l'ensemble C des nombres complexes, ce nombre-là existe et on l'a nommé :  i

Ainsi, dans cet ensemble   i ² = -1, donc on peut trouver des résultats aux opérations impossibles dans tous les autres ensembles précédents à des problèmes où le carré du nombre est un nombre négatif, chose impossible dans les autres ensembles.

Bon, là , dans le côté abstrait du raisonnement, on est bien loin de la classe de CP ou même de 6eme.
On comprend aisément que ce n'est pas des concepts qu'on va même essayer d'aborder avec des élèves qui ne sont pas au moins en terminal, car là arrivent alors, pour aborder la dimension de ces nombres, les concepts de nombres vectoriels avec des choses terribles comme la trigonométrie, les formes exponentielles des nombres complexes qu'on écrit avec des exponentiels e, les logarithmes népériens ln , etc .....

On s'épargnera les cours de maths ravageurs ...

 

 

 

Mais où voulais-je en venir avec tout ça, par rapport à l'approche de Dieu ?

I Co 13:11

Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant; lorsque je suis devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant.

 

Si on suit le développement d'un élève qui passe de CP à une Terminale Scientifique, on comprend aisément, après tout ça, qu'il y a des concepts qui ne peuvent même pas être abordés par des élèves à l'intelligence pas encore capable d'appréhender des choses trop abstraites.
Je suis même sûr que même des personnes adultes n'ont pas eu la capacité ou la possibilité de connaître ces choses jusqu'à l'ensemble des nombres complexes C. Et il y a en mathématique des concepts encore plus compliqués que ceux-ci.

 

Alors la question est celle-ci :

Est-ce que, parce qu'un élève de CP ne peut pas concevoir tous ces concepts avec son intelligence, ces concepts n'existent pas ?

Est-ce que, parce qu'un élève de CP ne sait même pas qu'il existe le nombre i tel que i ² = -1, cela veut dire que ce nombre i qui est capable de résoudre cette équation n'existe pas en tant que nombre mathématique ou que le concept des nombres complexes n'existe pas, parce que l'intelligence de l'élève qui y réfléchit n'arrive pas à concevoir ce concept ?

 

Remettons-nous un peu dans la tête d'un élève de CP qui en est encore aux nombres entiers naturels et aux opérations basiques du type 1+1=2 et essayons de parler à cet élève du nombre i et des expressions vectorielles ou des exponentiels, cosinus i, logarithme népérien ln, espaces vectoriels, des espaces à n dimensions, etc ...
Est-ce qu'alors un raisonnement de sa part du type : "parce qu'avec mon intelligence, je ne conçois pas tout ça, donc ça n'existe pas" serait un raisonnement sensé ?

Est-ce qu'un adulte alors, qui n'arrive pas à concevoir tous ces concepts mathématiques avec son intelligence pas très portée sur les mathématiques, et qui se dirait " parce que je n'ai pas vu tout ça avec mon intelligence, donc c'est du pipeau tout ça, c'est des choses qui ne sont donc pas vraies" serait un homme réellement qualifiable d'homme sage et sensé  ? ou serait-ce plutôt un homme imbu de sa personne qui croit que son intelligence a tout vu et est capable de tout voir, tellement il est sûr de ses capacités intellectuelles infinies ?

 

Et nous-même, où en sommes-nous avec notre intelligence et notre façon de raisonner ?

Sommes-nous sûrs que notre intelligence est tellement infinie que si une chose n'a pas été vue par notre intelligence alors ça veut dire que cette chose est fausse ou n'existe pas ?

Ou est-ce que quelqu'un qui penserait ça, serait plutôt un vil orgueilleux et présomptueux ?

 

Or voici comment, nous, nous nous présentons devant Dieu et la possibilité de connaître ou même d'appréhender Dieu : "parce que mon intelligence, parce que l'intelligence des hommes n'est pas parvenue à voir Dieu, alors l'idée même de Dieu est fausse, tellement l'intelligence des hommes serait toute puissante et infinie pour tout comprendre de l'univers et de tous les concepts qui pourraient exister !"
 

Car bien-sûr qu'il ne s'agit pas que d'une question de vue physique avec ses yeux lorsqu'on dit qu'on ne croit que ce que l'on voit ... Car qui d'entre nous, aujourd'hui, a vu Vercingétorix ou Jules César ou Homère ou Socrate de ses propres yeux physiques (ou même un atome de carbone ou un neutron)  ?
Aujourd'hui = personne !
Il n'y a que des écrits sur ces personnes, d'autres nous ont juste dit qu'ils ont existé et personne d'entre nous ne remet en question le fait qu'ils aient existé, car on conçoit fort bien qu'ils aient pu exister !
Et pour les atomes, il n'y a que des théories et des expériences qui démontrent que cela existe mais on ne les voient pas avec nos yeux physiques... 
Mais le problème avec Dieu, malgré le livre qui parle de lui et qui est d'ailleurs intitulé Le Livre (= La Bible), malgré les chrétiens qui disent que Dieu existe et que les expériences surnaturelles qu'ils ont vécues et qui vérifient ce que la Bible avance comme "théorie", si on veut parler avec un langage mathématique, on ne croit pourtant pas que Dieu puisse exister, car on ne conçoit pas, avec notre cerveau, que Dieu puisse exister . C'est une question de pouvoir concevoir que Dieu existe, ce n'est pas une simple question de le voir avec ses propres yeux physiques.

"Si ça échappe à mon intelligence, à la possibilité que je puisse concevoir, que je puisse "voir" avec mon intelligence, que ça existe, alors c'est faux, alors ça n'existe pas !" : Voilà comment l'homme orgueilleux s'approche de Dieu  ! L'homme tellement orgueilleux de ses capacités intellectuelles qu'il croit infinies pour tout comprendre, ne veut pas même pouvoir imaginer que quelque chose puisse être plus grand que ses capacités intellectuelles.

 

Alors que dit Dieu fasse à cet orgueil ?

 

I Co 3:18-20

Que nul ne s'abuse lui-même: si quelqu'un parmi vous pense être sage selon ce siècle, qu'il devienne fou, afin de devenir sage. Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu. Aussi est-il écrit: Il prend les sages dans leur ruse. Et encore: Le Seigneur connaît les pensées des sages, Il sait qu'elles sont vaines.

 

I Co 1:18-25
Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu.
Aussi est-il écrit: Je détruirai la sagesse des sages, Et j'anéantirai l'intelligence des intelligents.
Où est le sage? où est le scribe? où est le disputeur de ce siècle? Dieu n'a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde? Car puisque le monde, avec sa sagesse, n'a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication. Les Juifs demandent des miracles et les Grecs cherchent la sagesse: nous, nous prêchons Christ crucifié; scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs.
Car la folie de Dieu est plus sage que les hommes, et la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes.

 

 

I Co 2:14

Mais l'homme naturel ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge.
Est-ce qu'on arrive, avec ce verset, à comprendre que Dieu nous voit dans la position de ceux qui en sont encore à l'ensemble N des entiers naturels, de ceux qui ont une intelligence qui n'en est encore qu'aux calculs basiques 1+1=2, alors que Dieu est infiniment au-delà de tous les concepts mêmes les plus abstraits qu'on ait pu aborder avec notre intelligence naturelle ?
Dieu dit qu'il faut que nos raisonnements-mêmes soient cassés pour pouvoir l'aborder lui, car il est au-delà de notre intelligence naturelle (c'est pour ça qu'il faut naître de nouveau, c'est-à-dire que notre esprit spirituel soit ressuscité pour pouvoir aborder les choses divines, les choses de l'esprit, les choses spirituelles de Dieu).
Car même au niveau mathématique, on voit que le mot naturel pour le tout premier des ensembles (l'ensemble N des entiers naturels) tombe bien, comme par hasard, pour comprendre que c'est juste le 1er niveau d'intelligence. Le niveau d'intelligence des hommes n'est pas plus élevé, pour Dieu qu'un élève de CP face aux concepts les plus complexes des mathématiques (et encore, cette image est bien limitée), c'est d'ailleurs pour ça que Dieu interdit qu'on essaie de se représenter Dieu par nous-même, avec notre intelligence humaine, mais que c'est lui qui doit se révéler à nous car sinon, avec notre intelligence humaine, on ne concevra qu'un vulgaire veau en or !!! (voir la fiche sur l'idole du veau d'or)

 

Dieu a même voulu aller plus loin avec les mathématiques par cette équation qu'il a laissé dans la Bible :

(   X = -

(   X = +

Ap 1:8
Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant.

(car alpha est la 1ere lettre de l'alphabet grec, et oméga est la dernière lettre de l'alphabet grec)
 

 

 

II /   Soyez renouvelés dans votre intelligence

Eph 4:23 (Bible Martin)
Et que vous soyez renouvelés dans l'esprit de votre entendement.

Une petite histoire drôle que j'avais entendue  (enfin, une petite histoire humoriste, tout du moins) :
Un jour un petit papy prend sa voiture et va sur l'autoroute et comme il écoute la radio en conduisant, il entend à la radio une info concernant justement la portion d'autoroute sur laquelle il roule : "Attention, attention, soyez bien attentifs sur la portion d'autoroute entre Dijon et Beaune, car un véhicule roule en contresens et pourrait créer de sérieux accidents !"
Alors le petit papy se met à grogner, dans sa voiture, contre ces journalistes qui ne donnent pas d'infos fiables : "Mais c'est pas une voiture qui roule à contresens, c'est toutes les voitures !!!"

Effectivement, ce n'est pas une histoire super hilarante mais c'est juste pour faire comprendre l'idée suivante :
Ce n'est pas parce que mon raisonnement trouve une situation logique et vraie, d'après ce que mon raisonnement me renvoie, que cela signifie que mon raisonnement a trouvé LA vérité.

Je m'explique en prenant comme exemple le raisonnement du petit papy, si on a bien compris que, dans l'histoire, c'est parce que c'est justement le papy qui roule à contresens sur l'autoroute qu'il voient toutes les autres voitures comme roulant à contre-sens. Je préfère quand-même m'assurer que tous les lecteurs suivront bien mon explication.
Selon le raisonnement du papy, il est vrai que toutes les voitures qu'ils voient, sont à contresens de lui, donc tant que le papy ne se remet pas en question lui-même, il est vrai que les voitures roulent à contresens du sien. Donc dans son raisonnement, comme ce sont les autres voitures qui roulent à contresens, ce n'est pas illogique de grogner contre la radio qui ne donne pas d'infos fiables et de dire que toutes les voitures roulent à contresens.
Tout est logique dans le raisonnement du papy tant qu'on regarde avec un raisonnement qui ne s'élève pas et qui reste du type : "mon raisonnement est logique donc j'ai la vérité". Mais si le papy voulait comprendre que, peut-être, c'est son raisonnement-même qui peut être faux, sa façon de réfléchir qui peut être erronée, alors peut-être qu'il commencerait à réfléchir autrement et à voir la situation sous un angle plus élevé, en se disant que si son système de raisonnement est faux, alors bien que tout semble logique à l'intérieur de sa façon de voir les choses, sa façon de concevoir les choses peut alors ne pas être la vérité.

Et pour bien comprendre que ce n'est pas le fait que le petit papy ait été seul à mal penser contre la majorité, qui est le problème, mais le fait de rester à l'intérieur de son propre raisonnement sans vouloir prendre du recule par rapport à sa propre façon de raisonner, je vais donner aussi un exemple vécu où c'est la majorité qui avait tort contre une minorité qui avait raison (et cela peut arriver assez fréquemment, d'ailleurs. Exemple : Jésus était seul face à la majorité des religieux de son époque )...
Cela me rappelle donc un contrôle de math. où il y avait un piège au niveau d'une opération sur le 0 (car le zéro, en math., dans les fonctions, a une particularité que les autres nombres n'ont pas : la division par 0 est impossible). Tout le monde avait échafaudé son raisonnement pour faire sa démonstration sans voir cette particularité au niveau du zéro dans les fonctions. Et quand on omettait cette particularité du 0, alors tout allait comme sur des roulettes pour avancer dans l'ensemble des démonstrations. Tout semblait logique.
Mais si on avait vu ce problème du zéro, alors les démonstrations se corsaient pour arriver aux diverses conclusions.
Je dis ça car c'est la seule fois où j'ai pu avoir la meilleure note de la classe (9/20, c'était pas mal en contrôle de 4h en math. spé.) en ayant justement vu ce problème du 0 qui rendait toutes les démonstrations et raisonnements de première intention complètement caduques. C'est sûr que je n'ai pas pu faire toutes les démonstrations mais, par rapport aux autres, je n'étais pas complètement hors-jeu. Pour les autres élèves, tout collait dans leurs raisonnements, tout était ensuite logique, mais au final, c'était faux et les 0 pleuvaient le jour de la remise des notes de ce contrôle. (Mon seul moment de petite gloriole pendant mes 2 années de prépa math. sup., math. spé.!!!)

Encore un autre petit exemple sorti de derrière les fagots :
Je me souviens d'avoir entendu, un jour, une anecdote racontée par un avocat, sur une personne qui avait reçu un PV, car il s'était garé sur le côté de la rue indiqué comme étant interdit au stationnement. Ainsi, tout le monde pouvait jurer, selon ce qu'on voyait inscrit sur les panneaux de stationnement, que la personne avait eu tort de se garer là et était donc coupable vis-à-vis de la loi. Or l'avocat de cette personne a réussi à disculper son client, car il est allé consulter le plan d'urbanisation de la ville et a constaté que le panneau d'interdiction de stationner avait été implanté du mauvais côté de la rue, par les agents de la voirie. Ainsi, en ne se basant que sur la signalisation visible par tous, tout le monde en déduisait une pseudo-vérité qui était en réalité à l'opposé de la "vraie vérité" et seule la lecture des plans de voirie venait rétablir la "vraie vérité".
Oui, on peut être persuadé que nous avons la vérité par les déductions et les raisonnements logiques et censés, basés même sur les choses que nous voyons de nos propres yeux, tout en étant dans l'erreur. Il faut donc admettre que nos raisonnements aussi logiques et raisonnables soient-ils, raisonnements basés sur ce que nous voyons de nos propres yeux, puissent ne pas saisir la vérité et qu'il faille parfois un éclairage (une révélation) qui se détache de notre façon de voir les choses, qui soit au-dessus de notre raisonnement, au-dessus de notre logique, pour révéler la "vérité vraie".

 

Oui tout peut paraître logique dans mon système de pensées, dans ma façon de raisonner, mais cela ne veut pas alors forcément dire que j'ai la vérité, que ma déduction est vraie et juste, car c'est peut-être mon système même de raisonnement qui est mauvais et me conduit ailleurs qu'à la vérité !

De plus, est-ce que je suis infaillible dans mes systèmes de raisonnement, de déduction ?
Est-ce que si mon intelligence arrive à déduire quelque chose alors c'est forcément la vérité, car mon intelligence ne se trompera jamais, tellement j'ai l'intelligence infinie ?
Je ne crois pas que ce soit ça la sagesse. On peut être très intelligent et pourtant manquer infiniment de sagesse lorsqu'on se croit orgueilleusement infaillible. Et même, je me souviens d'un des mes professeurs de biologie cellulaire, en médecine, qui disait que plus on en connait, plus on se rend compte qu'on connaît peu de chose, en fait ...
Oui, la sagesse commence par l'humilité, l'humilité de penser qu'on ne peut pas tout savoir et qu'on peut aussi se tromper.
Prov 11:2
Quand vient l'orgueil, vient aussi l'ignominie; Mais la sagesse est avec les humbles.

Car soyons réalistes un peu et essayons de voir les choses avec justice : est-ce qu'il serait juste que ce soit par l'intelligence humaine qu'on découvre Dieu et qu'alors, donc, les plus intelligents des hommes soient ceux qui découvrent Dieu et que les moins intelligents n'y arrivent pas ou pas très bien ? Est-ce qu'on trouverait ça juste que Dieu ait voulu qu'on parvienne à lui en se basant sur notre intelligence ? Quelle injustice alors pour les moins intelligents ! Seuls les plus intelligents seraient en communion plus intense avec Dieu et ceux qui n'auront pas eu le privilège d'avoir eu une éducation qui développe leur intelligence seraient laissés de côté ... Oui, alléluia que Dieu ne l'ait pas du tout prévu ainsi !!! Oui, même ce raisonnement basé sur "c'est par mon intelligence que je découvrirai Dieu" est un raisonnement qui ne tient pas debout, car il n'est pas digne de la justice divine.

Mt 11:25-26
En ce temps-là, Jésus prit la parole, et dit: Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants.
Oui, Père, je te loue de ce que tu l'as voulu ainsi.

I Co 2:4-14
et ma parole et ma prédication ne reposaient pas sur les discours persuasifs de la sagesse, mais sur une démonstration d'Esprit et de puissance, afin que votre foi fût fondée, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu.
Cependant, c'est une sagesse que nous prêchons parmi les parfaits, sagesse qui n'est pas de ce siècle, ni des chefs de ce siècle, qui vont être anéantis; nous prêchons la sagesse de Dieu, mystérieuse et cachée, que Dieu, avant les siècles, avait destinée pour notre gloire, sagesse qu'aucun des chefs de ce siècle n'a connue, car, s'ils l'eussent connue, ils n'auraient pas crucifié le Seigneur de gloire.
Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l'oeil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l'homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment.
Dieu nous les a révélées par l'Esprit. Car l'Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu. Lequel des hommes, en effet, connaît les choses de l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui? De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu. Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles.
Mais l'homme naturel ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge.

Mt 5:3
Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux !

Et par là, Jésus ne voulait pas dire forcément ceux qui ne sont pas du tout intelligent mais ceux qui ne regardent pas à leur intelligence avec orgueil et avec une suffisance qui dit "je suis intelligent donc je sais".
(Même un homme tel que Socrate disait :
"Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien, tandis que les autres croient savoir ce qu'ils ne savent pas")

Alors un peu d'humilité pour aller à la rencontre de Dieu, essayons de comprendre que peut-être ce Dieu est bien au-delà de l'intelligence humaine (et qu'il a même voulu être inaccessible par l'intelligence humaine). Et n'oublions pas :
Jacq 4:6 (b)
... Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles.

Pourtant Dieu se révèle à qui veut venir humblement à lui en lui disant "je ne sais pas, viens me montrer" et en le pensant réellement, bien-sûr... (parce que Dieu lui-même est humble, si vous saviez... Un Dieu qui est humble au point d'accepter que ses propres créatures lui disent "Non", lui qui est tout-puissant !!! Un Dieu qui est venu sur terre sous la forme de Jésus : Mt 11:29(b) ....car je suis doux et humble de coeur )

Jn 18:37-38(a)
Pilate lui dit: Tu es donc roi? Jésus répondit: Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix. Pilate lui dit: Qu'est-ce que la vérité?

Jn 14:6(a)
Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie.

 

Jn17:17
Sanctifie-les par ta vérité: ta parole est la vérité.

 

 

Un exemple qui montre que l'approche de Dieu n'est pas incompatible avec les mathématiques quand on accepte de voir :
(RMQ : il s'agit, ici, juste de l'approche de l'existence de Dieu, on n'en est pas encore à appréhender que Jésus est Dieu venu sur terre pour nous sauver ...)

Michio Kaku - physicien

Michio Kaku - physicien

Michio Kaku dit avoir trouvé la preuve définitive de l’existence de Dieu

Publié par wikistrike.com sur 10 Juin 2016, 07:19am

Catégories : #Science - technologie - web - recherche

Michio Kaku dit avoir trouvé la preuve définitive de l’existence de Dieu

L'un des scientifiques les plus respectés d'aujourd'hui dit qu'il a trouvé des preuves de l'action 'une force "qui gouverne tout."

Le physicien Michio Kaku affirme avoir développé une théorie qui pourrait pointer vers l'existence de Dieu. L'information a créé un grand émoi dans la communauté scientifique parce que Kaku est considéré comme l'un des scientifiques les plus importants de notre époque, l'un des créateurs et développeurs de la théorie révolutionnaire des cordes qui est très respecté dans le monde entier.

Pour venir à ses conclusions, le physicien a fait usage de ce qu'il appelle «semi primitive - tachyons rayon".

Les tachyons sont des particules théoriques capables de "décoller" la question de l’Univers ou de l'espace vide entre les particules de matière, laissant tout sans les influences de l'univers qui l'entoure.

Après avoir effectué les essais, Kaku est venu à la conclusion que nous vivons dans une «Matrix».

«Je conclus que nous sommes dans un monde fait par des règles créées par une intelligence", a-t-il affirmé. "Croyez-moi, tout ce que nous appelons la chance aujourd'hui ne peut plus avoir un sens."

«Pour moi, il est clair que nous existons dans un plan qui est régi par des règles qui ont été créées, formées par une intelligence universelle et non pas par hasard."

 Source: http://ageac.org/en/multimedia/scientist-says-he-found-definitive-proof-that-god-exists-2/

III /   Une dernière petite histoire que ma femme m'a racontée

Il était une fois 2 jumeaux à terme dans le ventre de leur mère...

Bébé 1: je suis bien triste, c'est bientôt la fin.

Bébé 2: mais non, au contraire, c'est le début de notre vraie vie !

Bébé 1: tu dis n'importe quoi. Moi je sais que tout va s'arrêter en sortant d'ici.

Bébé 2: je ne suis pas d'accord avec toi. J'ai entendu dire que dehors, tout est grand, beau avec plein de lumière...

Bébé 1: pfff...n'importe quoi toi !

Bébé 2: mais si c'est vrai, j'ai entendu dire qu'une fois dehors, on pourra même manger avec nos propres bouches, c'est merveilleux ça...

Bébé 1: c'est de pire en pire toi, tu délires là. On n'a jamais mangé avec nos propres bouches, c'est impossible !

Bébé 2: mais si ça sera possible. J'ai encore entendu dire et ça c'est la cerise sur le gâteau, que nous verrons enfin de nos yeux notre MAMAN, elle nous prendra dans ses bras, nous embrassera, nous aimera fort... !!! 

Bébé 1: en parlant de celle-là, ne me dis pas que tu crois en son existence ? On ne l'a jamais vue ! Moi je ne crois que ce que je vois, t'en vois une là toi ? NON !!! 

Bébé 2: c'est vrai, on ne l'a jamais vue et qu'on ne la voit pas là. Mais moi je crois qu'elle existe. Des fois, quand tout est calme, si tu prêtes attention, tu peux sentir ses douces caresses sur le ventre ou encore entendre sa voix quand elle chante... 

Bébé 1: tu commences vraiment à me fatiguer ! Tu es libre de croire qu'en sortant d'ici, une merveilleuse vie t'attend avec une maman que tu pourras enfin voir. Moi je ne crois en rien de tout ça. En sortant d'ici, c'est la fin de ma vie. 

Bébé 2: je suis bien triste pour toi que tu penses ça car il y a vraiment une vie et la vraie, en sortant d'ici...



 

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